Un film de Guillaume Canet
On n'a pas lésiné sur les moyens pour le dernier Astérix porté à l'écran. Tous ces effets spéciaux, ces bonds prodigieux des asiatiques dignes des films de Kung-fu ou simplement expliqués par l'absorption de la fameuse potion magique, ont beaucoup plu à Ulysse que j'accompagnais.
Beaucoup moins emballé, je reconnais quelques bons gags (avec mention spéciale pour celui d'Antivirus, joué par Zlatan Ibrahimvic demandant son remplacement sur le champ de bataille, comme font les joueurs de foot quand ils sont blessés) et quelques acteurs drôles comme Vincent Cassel en Jules César, Marion Cotillard en mégère-Cléopâtre ou l'impayable José Garcia en Biopix lèche-cul.
Mais je préfère décidément Astérix en bandes dessinées, en souvenir des années 1960 où nous les empruntions à la bibliothèque de la Cité universitaire du boulevard Sévigné.